FAQs

  • La première séance est un temps pour faire connaissance. Vous me parlez de ce qui vous amène, de ce que vous traversez, de ce que vous souhaitez explorer. Il n’y a rien à préparer, aucune bonne façon d’être ce jour-là. Parfois les mots ne viennent pas, et ce n’est pas un problème. Parfois ce sont des larmes, et je les accueille avec vous.

    De mon côté, je vous présente ma manière de travailler ainsi que le cadre. Je réponds à vos questions si vous en avez.

    Ne vous mettez pas la pression : il s’agit simplement de se rencontrer et voir si vous vous sentez en confiance avec moi.

  • Il n’y a pas de durée « idéale » : tout dépend de ce que vous traversez, de votre rythme, et de la profondeur du travail souhaité.
    Certaines personnes viennent quelques mois pour traverser une période de changement (rupture, deuil, naissance…), tandis que d’autres s’engagent dans un travail plus long pour apprendre à vraiment se connaître et transformer des schémas ancrés.

    La fin de la thérapie se prépare ensemble à l’avance. Cela permet d’intégrer le chemin parcouru, d’ajuster ce qui reste actif, et de se séparer en prenant soin du processus. La fin fait partie du travail, autant que le début.

  • Une séance dure 50 minutes.
    Ce temps fait partie du cadre : il permet de travailler dans un espace défini, contenant et clair.
    Et si, pour une raison ponctuelle, la séance commence en retard, elle se termine malgré tout à l’heure prévue, car je reçois une personne toutes les heures. Le respect du temps soutient la régularité et l’équilibre du travail.

  • La Gestalt-thérapie est née dans les années 1950 grâce à Fritz Perls, Laura Perls et Paul Goodman.
    Elle s’appuie sur la phénoménologie, la psychologie humaniste, la psychologie de la forme, la psychanalyse et la psychologie sociale.
    Ce qui la distingue, c’est l’attention portée à l’expérience vécue dans l’instant, et à la manière dont la personne se met en relation avec le monde qui l’entoure.

  • La Gestalt convient souvent aux personnes qui ont envie d’un accompagnement vivant, qui se construit dans la relation et dans l’instant présent.
    Si vous aspirez à mieux sentir ce qui se passe en vous, mettre de la conscience sur vos schémas, remettre du mouvement là où tout semble figé… alors la Gestalt pourrait vous convenir.

  • Devenir Gestalt-thérapeute nécessite une formation longue, d’au moins cinq ans, au sein d’une école reconnue.
    Elle comprend des enseignements théoriques, de la pratique encadrée, de la supervision, un apprentissage exigeant de la relation thérapeutique et un travail personnel approfondi (le ou la thérapeute doit lui-même avoir fait une psychothérapie).
    Pour ma part, j’ai été formée à l’École Parisienne de Gestalt, 1ère école en France de formation à la Gestalt thérapie, accréditée au niveau national par la FF2P et au niveau européen par l’EAGT et lEAP.

  • Le psychiatre
    Médecin spécialisé en santé mentale. Il peut poser des diagnostics, prescrire des traitements médicamenteux et accompagner les troubles psychiques.
    Il n’a pas l’obligation d’avoir suivi une psychothérapie personnelle.

    Le psychologue
    Titulaire d’un master en psychologie. Iel peut réaliser des bilans, des évaluations, et proposer des psychothérapies selon son orientation (TCC, psychanalyse, humaniste…).
    Là encore, aucune obligation légale d’avoir suivi une psychothérapie personnelle.

    Le psychothérapeute
    C’est un titre protégé, réservé aux psychologues, psychiatres ou professionnels ayant suivi une formation complémentaire reconnue par l’État.
    Le psychothérapeute exerce dans un cadre réglementé, mais n’a pas, non plus, l’obligation d’avoir fait une psychothérapie personnelle.

    Le·la psychopraticien·ne / praticien·ne en psychothérapie
    Ce terme désigne les thérapeutes formés dans des écoles privées reconnues, dans différents courants de psychothérapie.
    Leur formation est longue (plusieurs années), exige une psychothérapie personnelle approfondie, de la supervision régulière et un engagement éthique clair.
    Le terme “psychopraticien” est aujourd’hui largement utilisé pour distinguer ces professionnels des titres protégés.

    Le·la Gestalt-thérapeute
    C’est un·e psychopraticien·ne spécialisé·e en Gestalt-thérapie, formé·e sur au moins cinq ans dans une école de Gestalt reconnue.
    La formation inclut obligatoirement :
    • une psychothérapie personnelle
    • de la supervision,
    • un apprentissage exigeant de la relation thérapeutique et de la pratique encadrée
    • et une formation théorique solide.
    Le travail se centre sur l’expérience vécue ici-et-maintenant et la manière dont la personne se met en relation avec son environnement.

    Le·la psychanaliste
    Iel travaille principalement à partir de l’inconscient et de l’histoire personnelle.
    Sa formation passe par une psychanalyse personnelle approfondie, un cursus dans une école ou une société psychanalytique, et de la supervision.

  • À Lorient, vous trouverez différents types de professionnels : psychiatres, psychologues, psychothérapeutes, psychopraticiens et thérapeutes spécialisés comme les Gestalt-thérapeutes.
    Chaque approche a sa manière de travailler, mais ce qui compte le plus, au-delà de la méthode, c’est la qualité de la relation que vous établissez avec votre accompagnant.e. Les études montrent que l’alliance thérapeutique est l’un des facteurs clés de la réussite d’une psychothérapie.

    Vous pouvez choisir en fonction de votre ressenti lors du premier contact, de la proximité du cabinet par rapport à votre domicile ou de la possibilité de faire des séances en visio si cela vous convient davantage.
    L’essentiel est de trouver un espace où vous vous sentez en confiance, accueilli·e et compris·e.

  • À Lorient, les tarifs varient généralement entre 45 et 90 € selon le professionnel, l’approche et la durée de la séance.

  • Si vous traversez une dépression ou que vous vivez avec un trouble de la santé mentale, un suivi médical ou psychiatrique est indispensable, surtout lorsque des traitements sont nécessaires pour vous stabiliser.

    La Gestalt-thérapie peut alors venir en complément, comme un appui précieux. Mon rôle: vous aider à sentir, développer votre conscience de ce que vous vivez, redonner un peu de mouvement, là où la maladie vous enfermait. Dans certains troubles, tels que les troubles bipolaires, l’enjeu n’est pas de guérir, mais de mieux se connaitre et comprendre ses fonctionnements en lien avec la maladie et le monde qui nous entoure, pour apprendre à vivre avec.

  • Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise raison pour entamer une psychothérapie.
    On vient souvent quand quelque chose se répète, se fige, quand on ne trouve plus seul·e le chemin pour avancer.

    De l’anxiété, une perte de sens, des difficultés relationnelles — amoureuses, amicales ou professionnelles — des addictions, un manque de confiance en soi, une perte d’élan vital, un corps qui somatise… Quand tout cela devient trop lourd à porter seul·e.

    On consulte aussi quand on traverse une transition de vie — une rupture, un deuil, un burn-out, une naissance, un déménagement — à laquelle nous n’arrivons pas à faire face seul·e.

    Mais consulter, ce n’est pas forcément “aller mal”.
    C’est reconnaître que quelque chose demande de l’attention, du soutien.
    C’est l’envie de mieux se connaître, d’éclairer ses besoins, et d’ouvrir le champ des possibles.

  • Oui. Même si, personnellement, je préfère travailler en face à face, la visio peut être une vraie alternative lorsque vous ne pouvez pas venir au cabinet, que vous habitez loin, ou que vous vous sentez plus à l’aise chez vous.

    La qualité du travail reste la même : nous gardons la même présence, le même rythme, la même attention à ce qui se passe pour vous.
    Certaines personnes choisissent aussi d’alterner entre la visio et le cabinet, selon leur emploi du temps ou leur énergie du moment.

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